Nos convictions

Une personne qui rencontre une problématique : relationnelle, interpersonnelle, de communication, doit impérativement la replacer dans un contexte précis pour pouvoir la travailler : car la problématique a eu un commencement (facteur déclencheur)

1/ si la personne « n’est » pas sa problématique alors elle se sent « légitime » pour évoluer

2/ dans une problématique relationnelle ou interpersonnelle : si la personne réalise sa part de « coresponsabilité » alors elle va pouvoir très vite agir différemment).

Il est impératif de travailler avec le système relationnel de la personne pour mieux comprendre « ce qui se joue » et rechercher les différentes « boucles relationnelles » qui dysfonctionnent pour avoir les premiers leviers de changement.

Une personne en difficulté a souvent besoin d’effectuer techniquement une « mise à jour » dans ses modes de fonctionnement (comportements et communication) car les qualités qui lui ont servies pour réussir jusque-là pourraient la desservir dans ce nouveau contexte.

Développer son intelligence émotionnelle (compréhension des émotions, exploration du registre émotionnelle, grille de lecture décalée de certaines situations) est une clé de changement comportementale pertinent.

Une démarche de coaching doit rapidement montrer ses effets pour dynamiser un processus d’apprentissage efficace – le cadre de l’accompagnement (définition des rôles de chacun : manager, RH, coach et coaché) + résultats attendus (il est important de pouvoir évoquer des résultats observables*) et à quoi l’ensemble des parties prenantes verra que la démarche est un succès. (*trop longtemps les coaches évoquaient une obligation de moyens, or je crois essentiel d’évoquer des critères de succès attendus pour mettre le coaché en situation de réussite).

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